Valorisation des déchets, aménagement du territoire... Quimper Bretagne Occidentale est membre de plusieurs syndicats intercommunaux.
En 2002, la communauté d'agglomération de Quimper, et les communautés de communes du Pays Fouesnantais et du Pays Glazik ont décidé d'élaborer un Schéma de Cohérence Territoriale (Scot) en se regroupant au sein d'un Syndicat mixte, le Symescoto (Syndicat mixte d'études pour l'élaboration du schéma de cohérence territoriale de l'Odet).
Au 1er janvier 2017, Quimper Bretagne Occidentale se substitue à Quimper Bretagne Occidentale et au Pays Glazik. Dans le courant de l'année 2017, il s'agira de revoir le Scot pour qu'il intègre les problématiques de la commune de Quéménéven, nouvellement intégrée dans Quimper Bretagne Occidentale.
Le Sidepaq est un syndicat intercommunal qui a pour vocation le traitement et la valorisation des résidus urbains et ruraux et assure l'organisation générale et la rationalisation de la collecte sélective. Il a été créé par arrêté préfectoral le 17 mai 1988. Les collectivités membres assurent la collecte des ordures ménagères et ont transféré la compétence traitement au Sidepaq.
Jusqu'en 2016, il était constitué de quatre communautés (la communauté d'agglomération de Quimper, la communauté de communes de Crozon, la communauté de communes du Pays de Chateaulin et du Porzay, la communauté de communes du Pays de Glazik) représentant 123 655 habitants. Ce regroupement a permis d'atteindre une taille minimale en terme de population.
A compter du 1er janvier 2017, Quimper Bretagne Occidentale vient se substituer à Quimper Bretagne Occidentale et au Pays Glazik.
Les décisions sont prises par un Comité syndical.
Le syndicat gère l'activité de l'usine d'incinération des ordures ménagères (UIOM) de Briec-sur-l'Odet. Il est aussi en contrat avec Eco-Emballage dans le cadre du Contrat Programme Durée pour développer et favoriser la collecte des matériaux recyclables.
Le budget du syndicat est de 7 millions d'euros en fonctionnement et de 3 millions d'euros en investissement. Son budget est alimenté par les contributions des membres au prorata des déchets incinérés.